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Quand les voix se mêlent au chant du violoncelle, en un mot : Cantocello. Cet ensemble musical, fondé en 2018, a enchanté le public du Cantorama, dès les premières notes du Christus factus est de Felicie Anerio. Puis, à part deux œuvres (l’une de Michaël Haydn, l’autre  d’Anton Bruckner), le directeur Jean-Luc Waeber a choisi de nous emmener dans le 20^ème siècle. Le choix était audacieux, mais de bon goût. O Crux Ave de Rihards Durba, l’Ave Maria de Karl Jenkins ou les deux pièces de Dan Forest ont ému les auditeurs et le chef a réussi de grands et puissants forte, comme des pianissimos remarquables.
Le violoncelle de Pascal Desarzens s’est mêlé au chant et il a amplifié les émotions transmises par l’ensemble vocal. A certains moments, on aurait pu croire qu’il y avait plusieurs instruments … Pour beaucoup d’auditeurs, il a été un peu difficile d’entrer dans l’œuvre composée par Pascal Desarzens, Ainsi les tourments puis viennent les tournoiements. Un peu normal : d’abord la tension, puis la détente.

 

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Le journal La Gruyère l’avait annoncé : En ce jour de désalpe à Charmey, le Cantorama de Bellegarde accueille un concert peu commun, avec l’ensemble Vocalissimo. Tout est dans le titre : Du Lyôba à l’opéra. Les quatre musiciens, Karine Lavorel, soprano et le baryton Etienne Hersperger, accompagnés par le cor des Alpes de Valentin Faivre et par Irena Todorova au piano, ont fait découvrir différents ranz des vaches, des mélodies qui sentent bon le terre et qui ont été utilisées sur la scène de l’opéra par des musiciens célèbres comme Rossini, Schubert ou Mendelssohn, entre autres.
Il faut dire que les deux chanteurs ont des voix remarquables qui se « marient » bien, que le corniste fait oublier que le cor des Alpes est un instrument difficile et que la pianiste, très discrète, apporte un soutien empreint de virtuosité. Le Cantorama est devenu une scène et la musique arrivait de partout.
Pour terminer, certains auditeurs ont participé à l’amusant Funiculì funiculà et tous se sont levés pour applaudir les musiciens, mais ils ont eu de la peine à partir …

 

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La Liberté du jeudi 5 septembre dernier annonçait que « le Cantorama accueille un récital original inspiré par l’écrivain biennois et mélomane Robert Walser ». En effet, et c’est dans la ligne de la variété des concerts au Cantorama, les trois artistes fribourgeois nous ont présenté un spectacle musical, poétique et théâtral.
Certains auditeurs ont été un peu surpris par les textes lus par le comédien Yann Pugin. Mais, petit à petit, ils ont été captivés par une interprétation vivante, par des les situations de la vie courantes, par les décors sobres et par une mise en scène simple.
Et puis, il y a eu la musique, cette musique que Walser appréciait tant. D’abord la musique remarquable de la pianiste Fiona Hengartner. La fille aux cheveux de lin de Debussy ou une mazurka de Chopin ont amplifié l’ambiance poétique et romantique du spectacle. Et quelle virtuosité pour l’accompagnement de certaines œuvres de Mahler ou Schönberg et quelle finesse dans les pièces de Satie.
Enfin, nous avons eu le privilège d’entendre la voix magnifique de la mezzo-soprano Sophie Marilley. Elle nous a présenté une gamme d’émotions allant de la violence de Ich hab’ ein glühend Messer (Mahler) à une très grande paix et tendresse de Mondnacht (Schumann) en passant par la fantaisie et l’humour. Et toujours avec naturel et virtuosité.
Quelle belle nuit.

 

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En partenariat avec les RFI, nous avons accueilli trois groupes qui nous ont emmenés sur les Routes de la soie. Le thème de cette année a été présenté et commenté par Cyril Renz et nous avons découvert les routes terrestres et les routes maritimes.
D’abord, l’ensemble Utkarsh, qui vient la ville de Surat en Inde occidentale, a captivé le public par des danses légères et enjouées. Les jeunes filles du groupe, avec leurs foulards rouges, ont impressionné par leurs mouvements horizontaux de la tête et par leur endurance. Fascinant !
Puis, avec le groupe PPST Kencana Mas, nous sommes revenus sur terre avec la danse très lente d’un monstre timide, caché sous une immense perruque et derrière un masque, et qui, petit à petit, a réussi à créer un contact avec le public. Les danseuses, quant à elles, ont captivé le public par des danses élégantes, jusqu’au bout des doigts. Envoûtant !
Enfin, nous avons fait la connaissance de l’ensemble TFS Indonesia qui fait perdurer les traditions de l’île de Sumatra, en particulier le Saman. Le Saman est une danse traditionnelle d'Indonésie, connue aussi sous le nom de « danse des mille mains ». Elle a été inscrite en 2011 par l'UNESCO sur la liste du patrimoine immatériel nécessitant une sauvegarde urgente. Cette danse est pratiquée en ligne et souvent à genou. Elle produit son propre rythme lorsque les danseurs frappent dans leurs mains, sur leurs cuisses ou sur le sol. Fascinant et envoûtant !
 

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La Dama le Demanda

Chikako Nishikawa an der Orgel, Daniel Lappert an der Flöte und Nana Hiwatari an der Gitarre. Drei starke Persönlichkeiten, die alle solistisch erfolgreich auftreten und ebenso ein grosses Interesse an der Kammermusik haben, erfreuten die Zuhörerinnen und Zuhörer, mit einem abwechslungsreichen Programm aus verschiedenen Epochen.
Angefangen mit spanischer Musik aus dem 16. Jahrhundert von Antonio de Cabezón folgte mit Antonio Vivaldis Flötenkonzert in C-moll pures italienisches Temperament und der Flötist verstand es von Beginn weg das Publikum zu begeistern.
Mit tänzerisch verspielter Orgelmusik von Pablo Bruna zeigte Chikako Nishikawa, was auf der historischen Orgel des Cantorama möglich ist. Wunderbar zuzuhören und zum geniessen. Das "Concertino de Aranjuez" von Joaquin Rodrigo mit Orgel und Gitarre in so harmonischer Weise vorgetragen, war wohl für manchen Zuhörer eine Premiere, welche zu gefallen, ja zu staunen vermochte.
Die brillante Fantasie über die Oper Carmen von François Borne vorgetragen von Daniel Lappert auf der Flöte und Nana Hiwatari auf der Gitarre mit der jeweils wiederkehrenden Grundmelodie rissen die Zuhörer in Bann.
Die Trio Sonata G-Dur BWV 1038 von Johann Sebastian Bach, vorgetragen mit Orgel, Gitarre und Flöte bildete einen wunderbaren Abschluss des Konzertes.

Danke für das wunderschöne Konzert.
 

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Die beiden bestens bekannten Jodlerinnen Natascha und Maruschka Monney und ihre Kollegin Tabea Kolly sorgten im Voraus für grosses Interesse bei der einheimischen und der deutschfreiburgischen Bevölkerung. So dass das Cantorama sich am Sonntagabend bald füllte.

In einem ersten Konzertteil haben die beiden Schwestern Natascha und Maruschka einen bunten Strauss von Jodelliedern vorgetragen. Kompositionen verschiedener Komponisten aus allen Landesteilen der Schweiz. Die beiden klaren und kräftigen Jodelstimmen hallten im Raum der alten Kirche und begeisterten die Zuhörer mit jedem Jodelton. Bei diesen Vorträgen hätte man meinen können, dieser Raum sei fürs Jodeln gebaut worden.

Im zweiten Konzertteil gesellte sich Tabea Kolly dazu und zu Dritt sangen sie verschiedene Kompositionen aus aller Welt. Mit ihren schönen und sicheren Stimmen verstanden es die drei Sängerinnen sehr gut, auch die manchmal etwas melancholischen Lieder vorzutragen. Zur Eigenbegleitung in beiden Konzertblöcken bedienten sich die Sängerinnen verschiedener Instrumente.
Durch den Wechsel vom Duett zum Terzett und der komplett unterschiedlichen Liederwahl in den beiden Blöcken, erlebten die Zuhörer am selben Abend zwei ganz verschiedene grossartige Konzerte.

 

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Pour la 2^ème année consécutive, nous avons accueilli les lauréats du Prix Cantorama que la Commission de musique a offert à Cléa Bahous, pianiste, et à Simon Ruffieux, baryton, lors du Palmarès 2023 de l’HEMU VD VS FR.
Les deux jeunes musiciens ont enchanté le public (un peu clairsemé, malheureusement) avec un programme varié et alléchant : d’abord des mélodies françaises de Debussy, Poulenc, Lili Boulanger et Ropartz. La belle voix de Simon Ruffieux, soutenue délicatement par l’accompagnement de Cléa Bahous a créé une belle ambiance amplifiée par une petite installation lumineuse (mapping).
Nous avons ensuite eu le plaisir de découvrir la virtuosité et la sensibilité de la pianiste dans deux extraits de Johannes Brahms et la 1^ère partie du concert s’est terminée avec 4 lieder de Franz Schubert. Que du bonheur !
Après une brève pause, Cléa nous a à nouveau captivés avec des Variations de Haydn et le concert s’est terminé par quelques mélodies de Fauré et Poulenc.
A la fin du concert, les deux musiciens ont reçu la partie « tangible » de leur prix. Ils nous ont encore gratifiés d’un bis émouvant, La Chanson des vieux amants de Jacques Brel et le public a eu de la peine à se lever pour partir.
On dit souvent que « les absents ont toujours tort ». Hier soir, au Cantorama, c’était vrai.

 

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Es war für uns eine grosse Ehre, die beiden Künstler des Jaz Duo im Cantorama begrüssen zu dürfen. Das Interpretenpaar Agata-Maria Raatz und Marcin Fleszar weisen Musikausbildung auf höchster Stufe aus, standen bereits auf den bekanntesten Bühnen der Welt wie London, Paris, Hamburg und New York und waren im Radio auf der ganzen Welt zu hören. Dazu kommen Auszeichnungen an verschiedenen Festivals. Sie interpretieren Eigenkompositionen und Werke der bekanntesten Komponisten.

Nach all den Angaben, die im Vorfeld publiziert wurden, waren die Erwartungen des Publikums wohl hoch. Was da aber geboten wurde, übertraf alle Erwartungen. Eine Stunde Musikerlebnis auf höchster Stufe gefühlvoll interpretiert. Werke von Mozart, Vivaldi, Chopin, Schumann und ganz besonders die Eigenkomposition von Clara Jaz "Cremona Virus" begeisterten das Publikum. Das Standing Ovation am Schluss des Konzertes war nur noch die logische Folge des Erlebten.

Auf die Frage, was denn so bekannte Künstler zu einem Konzert ins kleinen Cantorama lockt, antwortet Frau Agata-Maria Raatz: "So nahe beim Publikum zu stehen und den Leuten in einem familiären Kreise Freude zu bereiten".
 

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Avec le Vendredi Saint, la saison musicale recommence au Cantorama. Et, cette année, elle a commencé en beauté avec une prestation de très grande qualité du Chœur Novantiqua de Sion. Son chef Sylvain Jaccard y a été pour beaucoup d’abord par son charisme et ensuite en présentant des œuvres de Palestrina, Purcell, Lobo et un extraordinaire Crucifixus de Lotti.
Mais, la pièce de résistance de ce concert a été l’Officium defunctorum de Tomás Luis de Victoria. Ce requiem a cappella a été interprété en ajoutant çà et là quelques improvisations et accompagnements par l’organiste Michel Bignens. Cette œuvre à six voix demeure un hommage au chant grégorien et elle est caractérisée par une « austérité raffinée et digne, et traversée par une conviction passionnée ; elle rayonne d'une extraordinaire ferveur dans une atmosphère musicale et spirituelle sereine et adaptée à son objectif liturgique » (Turner, 1988).
Comme le public a été invité à ne pas applaudir du tout, mais à se manifester simplement en se levant à la fin du concert, nous avons vécu un beau moment de paix et de recueillement pour un Vendredi Saint. Mais un peu frustrant tout de même …

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Das diesjährige Silvesterkonzert versprach uns einiges und wir erwarteten das Konzert mit viel Spannung, präsentiert sich das Duo Giovivo auf ihrer Homepage doch folgendermassen: «Vielseitig, zeitlos, harmonisch und in jeder Hinsicht hochstehend – das ist das Duo GIOVIVO.
…Bis zu acht Instrumente bauen Muriel Zeiter und Fabian Bloch in ihre einzigartigen Stücke ein und wechseln dabei gekonnt zwischen verschiedenen musikalischen Stilrichtungen und Epochen.»

Wie dies genau gehen sollte, schien uns vor dem Konzert noch ein kleines Rätsel.

Bereits bei der Begrüssungsrede durch Léon Tâche wurden die Lachmuskeln des Publikums beansprucht, denn er hatte sich für den Sektverkauf während der Pause einen lustigen Werbegag ausgedacht.

Sofort ging es in diesem Stil weiter. Das Programm begann mit einigen schönen Weihnachtsliedern und wechselte später zu verschiedenen älteren und moderneren Klassikern. Die kurzen Ansagen zwischen den Musikstücken wurden durch Muriel Zeiter und Fabian Bloch äusserst charmant und lustig präsentiert und gaben der äusserst professionell gespielten Musik einen liebevollen, witzigen, leichten Touch. Besonders die freestyle-mässigen Übersetzungen ins Französische sorgten für einige Lacher und Heiterkeit.

Und ja, Muriel und Fabian spielen tatsächlich auf acht Instrumenten. Sicher, stilvoll, oft im spielerischen Austausch untereinander. Wir fühlten uns perfekt unterhalten. Danke für den Besuch!

 

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Le concert de Noël est un moment important de l’année musicale du Cantorama et celui de 2023 a été dans la ligne des précédents. Une soirée magique en compagnie de La Chanson du Pays de Gruyère sous la direction de Stève Bobillier. La qualité des exécutions a été au rendez-vous et les auditeurs ont apprécié la variété du programme.
En effet, à côté de noëls traditionnels comme Les Anges dans nos campagnes ou Entre le bœuf et l’âne gris, nous avons découvert une mélodie irlandaise entraînante du 16^ème siècle, Gaudete, Gaudete. Sans vouloir tout citer, on relèvera la présence de trois compositeurs contemporains fribourgeois : André Ducret, Jean-Marie Kolly et Jean-François Michel avec son magnifique chant en patois Bouneu chu têra.
Un grand moment de ce concert a été Stars du compositeur letton Eriks Ešenvalds. «Cette composition pour chœur et verres accordés débute avec les sons que font des verres musicaux. Le son des verres, en accord ou en frottement avec les voix du chœur, crée un espace sonore céleste, parfaitement évocateur d’une nuit où des étoiles dans les cieux, scintillantes, nous interpellent sur l’immensité de l’espace et de notre place sur notre planète. La pièce est d’un calme cosmique.»
https://www.choeurdelacolline.org/stars-eriks-esenvalds/
Les deux bis nous ont ramenés sur terre pour déguster thé, vin chaud et chocolats offerts par La Société des produits Nestlé à Broc.
Joyeux Noël à toutes et à tous.
 

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L’Ensemble Reeds in Motion est un ensemble particulier. En effet, tous les instruments sont des instruments à anche. Des anches simples pour la clarinette de Lionel Andrey, pour la clarinette basse de Filipa Nunes et pour le saxophone de Rahel Kohler; des anches doubles pour le hautbois et le cor anglais de Marc Bonastre et pour le basson de Till Schneider.
Dès le début, l’œuvre d’Edvard Grieg (1843-1907) Aus Holbergs Zeit, avec un arrangement de Raaf Hekkema, a conquis le public. On s’est tout de suite rendu compte de la cohésion et de la fusion de l’ensemble. Chaque instrument a été mis en valeur, surtout dans les parties plus lentes.
Avec Splinter, Marc Mellits (*1966) nous a transportés dans un univers musical plus tendu et les musiciens ont fait preuve de virtuosité : précision rythmique, technique remarquable de l’instrument pour un résultat où tout paraît facile.
Enfin, nous avons visité la capitale française avec An American in Paris de George Gershwin (1898-1937) (arr. Raaf Hekkema). Grande animation, taxis, klaxons ont rythmé la promenade du touriste américain sur les Champs-Élysées. Puis un blues a traduit la nostalgie du pays natal et la rencontre d’un compatriote les a amenés à la reprise de tous les thèmes de la pièce.
Les auditeurs ont apprécié le bis. C’est bon signe.
 

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Am Sonntag, 29. Oktober 2023 durften wir im Cantorama den einheimischen Folkloreverein Gastlosestìmmeg empfangen.
Der Verein bot den zahlreich erschienen Zuhörer:innen ein sehr abwechslungsreiches Programm. Zuerst gab der Jodelchor Gastlosekläng, bestehend aus jungen Erwachsenen aus der nahen Region, unter der Leitung von Robert Steffen zwei Lieder zum Besten. Danach trugen die Kinderjodler, begleitet durch Andrea Rauber, drei Lieder vor. Der kindliche Enthusiasmus sowie der grosse Ehrgeiz steckten das Publikum an und sorgten für den einen oder anderen Lacher, aber auch für viel Bewunderung. Den dritten Teil des Abends gestalteten die Örgeligruppe 1, bestehend aus den drei Brüdern Elias, Alain und Armand Fallegger.
Danach kam wiederum der Jodelchor Gastlosekläng auf die Bühne, diesmal von Robert Steffen am Alphorn begleitet. Nach den beiden geplanten Liedern gab es gleich noch eine Zugabe, welche spürbar machte, mit wie viel Freude und Stolz die Jodler:innen ihrer Passion nachgehen. Die Tatsache, dass mehrere Personen gleich in mehreren Formationen und praktisch alle in einer traditionellen Tracht auftraten, unterstrich diese Freude an der Folklore gleich mehrfach. Es folgte kurz darauf die Örgeligruppe 2, bestehend aus Olivier und André Remy, Fabrizio Mast, Corinne Buchs und Stefan Buchs.
Zum Schluss begaben sich die beiden Jodelchöre nochmals auf die Bühne und verwöhnten die Anwesenden mit einem gemeinsamen Abschlusslied und zwei Zugaben.
Grosse Zufriedenheit stand nach dem Konzert allen Anwesenden ins Gesicht geschrieben, den Auftretenden, den Angehörigen, den Besucher:innen und den Veranstaltern. Der Abend durfte bei einem Aperitif im Hotel Wasserfall abgerundet werden, welcher durch das Hotel Wasserfall offeriert wurde.
Einen herzlichen Dank geht an alle, die in irgend einer Form zu diesem gelungenen Abend beigetragen haben.

 

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Jaun, am 1. Oktober 2023. Während sich in den Gemäuern des Cantorama bereits langsam die Kälte der Herbstnächte eingeschlichen hat, herrschen draussen immer noch hochsommerliche Temperaturen. Die Mitglieder des Ensembles «Der Musikalische Garten», bestehend aus Germàn Echeverri Chamorro sowie den Damen Karoline Echeverri Klemm, Annekatrin Beller und Daniela Niedhammer, haben aus diesem Grund ihre Strickjacken anbehalten, um sich warm zu halten. Während des Konzertes scheint die Frische im Raum jedoch schnell vergessen zu sein – hochkonzentriert und in grosser Präzision werden uns Musikstücke aus der Sammlung des Basler Geschäftsmannes Lukas Sarasin (1742-1802) vorgetragen. Daniela Niedhammer bringt dem Publikum mit ihren Erzählungen zu Lukas Sarasin, seinem hauseigenen Komponisten sowie seinem «blauen Haus» etwas Musikgeschichte näher.
Die Zuhörer:innen verlassen das Cantorama nach dem Konzert hell begeistert. Sie rühmen die Auswahl der Liedstücke, das prachtvolle Cembalo, die Qualität der dargebotenen Musikkunst und vieles mehr. Ein sehr gelungenes Konzert.
 

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Im Angebot stand das Kombiangebot «Musikmärchen Tredeschin»; mit anschliessendem Mittagessen im Hotel zum Wasserfall.
Wer von diesem Angebot Gebrauch gemacht hat, wurde reichlich belohnt. Erst gab die Erzählerin, Frau Jolanda Steiner das Märchen des kleinen Jungen Tredeschin überzeugend zum Besten. Auch für die anwesenden Erwachsenen war dies ein echtes Vergnügen. Untermalt wurde die Geschichte von vielen kleinen Instrumenten wie dem Tamburin, dem Cajon und vielen Weiteren. Frau Astrid Leutwyler überzeugte gekonnt mit ihrem professionellen Spiel an der Violine und Herr Luca Staffelbach faszinierte mit seinem Tempo am Vibraphon und am Klavier. Eine überaus überzeugende Aufführung der etwas anderen Art.
Das feine Mittagessen im Hotel zum Wasserfall rundete diesen unterhaltsamen Ausflug ins Land der Märchen ab.

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En partenariat avec les RFI, nous avons accueilli deux groupes qui ont proposé un voyage au cœur des terres sauvages et ont présenté leurs gardiens.
D’abord, menés par le danseur, acteur et militant indigène Larry Yazzie, cinq artistes issus des peuples autochtones des USA et du Canada ont fait découvrir au public les danses traditionnelles et les rituels de différents peuples indiens. Leur impressionnant costume, appelé regalia, est propre à chaque danse. La présentation soignée et détaillée de Cyril Renz a permis aux spectateurs d’apprécier le respect de ces Amérindiens envers la nature, les ancêtres et la tradition. La danse de l’aigle, la mélodie à la flûte amérindienne ont été de grands moments.
La deuxième partie était réservée à l’ensemble Sidlangaloludzala Cultural Group qui, depuis 2008, forme des jeunes à la transmission des traditions de leurs ancêtres. Ses 26 membres sont tous à la fois chanteurs et danseurs, mais, au Cantorama, ils ont été chanteurs, a cappella. Dans l’acoustique remarquable du lieu, ils ont d’emblée conquis le public par le timbre des voix, la couleur des mélodies, les contrastes pianissimo-fortissimo et la variété des rythmes. Une musique répétitive, jamais statique, toujours accompagnée de mouvements du corps tout entier. Des images qu’on a vues avant 1990 lors de la lutte contre l’apartheid … Saisissant et émouvant.

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Das Publikum strömte ins Cantorama, wie wir es an einem warmen Julitag noch selten erlebt haben. Versprochen wurde uns vom Duo «G&G’s» zu Beginn des Konzertes ein «heiteres, abwechslungsreiches Programm». Was wurden wir von Noëlle Grüëbler und Olivia Geiser verwöhnt! Der «Mückentanz» von Fini Henriques war witzig, das Stück «Summertime» von Gershwin bekannt, «Swallow’s Nest» von Brennan klang erfrischend keltisch, die «Irisch Rhapsodie» von Stanford anspruchsvoll – uns wurde wahrlich nicht zu viel versprochen!

Die Musikerinnen reizten die akustischen Gegebenheiten vor Ort so richtig aus und fühlten sich durch das aufmerksame Publikum getragen. Die Ausführungen der Auftretenden zwischen den Liedstücken waren interessant und lehrreich. Das Publikum dankte mit begeistertem Applaus, die Damen Grüëbler und Geiser mit zwei wundervollen Zugaben. Welch ein gelungener Konzertanlass. Ein grosser Dank geht an diese beiden Virtuosinnen!
 

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L’affiche était attrayante : Intrigues à la cour de Mantoue par les Baladins du Faubourg. Et nous n’avons pas été déçus. Bien au contraire. L’ensemble, fondé l’année dernière et formé de jeunes professionnels issus de la Schola Cantorum de Bâle, a immédiatement conquis le public. Dès les premières notes, on savait que ce serait beau et que la musique de Monterverdi, Banchieri ou Palestrina serait bien servie. La justesse, les nuances (avec des forte généreux et des piano délicats), la précision des rythmes, une mise en scène discrète étaient au rendez-vous pour illustrer l’histoire que les chanteuses et les chanteurs nous ont racontée (textes parfois un peu longs) : celle, au XVIe siècle, de Frédéric II de Gonzague et de son amante Isabella Boschetti, à la cour de Mantoue. L’accompagnement tout en finesse, mais efficace, de la viole de gambe, du théorbe ou de la guitare a mis en valeur les voix magnifiques des cinq chanteuses et chanteurs.
A relever que La Battaglia de Banchieri a été interprétée sur la tribune, sans crainte de la distance avec les instruments et que le Kyrie et le Gloria de la Missa Brevis de Palestrina dehors, avec la porte entrouverte. 
De la nouveauté, de l’enthousiasme, de l’inédit : merci aux Baladins du Faubourg. Encore une fois, les absents ont eu tort.
 

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Prières lyriques est le titre du programme interprété ce dimanche au Cantorama. Ce concert était le prix que la Commission de musique a offert à Elizaveta Lobanova, organiste, et à Erwan Fosset, ténor, lors du Palmarès 2022 de l’HEMU-FR.
Les deux lauréats, que les auditeurs pouvaient suivre en direct sur un écran, ont conquis le public par des œuvres variées et on relèvera en particulier des mélodies de Mél Bonis, des extraits du Salve Regina de Pergolesi ou encore deux romances de Giuseppe Verdi. L’organiste, quant à elle, en plus d’un accompagnement discret, mais bien présent, a su se mettre en évidence et montrer ses grandes qualités dans des variations de Sweelinck ou dans Mad Rush de Philip Glass.
A la fin du concert, les deux musiciens sont descendus de la tribune pour saluer le public et ils ont reçus la partie « tangible » de leur prix.
Nous avons aimé ce concert et nous reconduirons l’expérience avec l’HEMU-FR en 2024.

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